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 Sucre, Index glycémique, diabète, etc

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MessageSujet: Re: Sucre, Index glycémique, diabète, etc   Sucre, Index glycémique, diabète, etc - Page 4 EmptyLun 7 Juin - 7:03

source https://www.santenatureinnovation.com/
Diabète : ne finissez pas avec les deux jambes amputées

Chère lectrice, cher lecteur,

Je vous présente Richard Doughty, 59 ans. Il est fin comme une allumette, sportif, court très régulièrement et joue avec agilité au cricket.

Richard a une alimentation saine (pas de plats industriels déjà préparés, viande blanche plutôt que rouge, beaucoup de légumes etc.), ne fume pas et s’autorise juste une bière de temps en temps.

Son indice de masse corporelle est parfait : 21 (un IMC normal varie de 18,5 à 25, selon l’OMS).

Bref, ce type a tout bon du point de vue de la prévention santé. Un sans faute. Bravo Richard !

Et pourtant, il y a quelques mois, après avoir regardé les résultats d’une prise de sang (« de routine »), son médecin lui a annoncé qu’il avait… un diabète de type 2 [1].

C’est-à-dire une maladie qui touche en priorité les personnes obèses ou en surpoids, et qui peut entraîner des conséquences dramatiques :

Les personnes atteintes de diabète de type 2 ont en moyenne des accidents cardiovasculaires (infarctus, AVC) 15 ans avant les autres

Leur risque de mourir d’un problème cardiaque est 2 à 4 fois plus élevé que chez les autres

Le diabète est la principale cause de cécité (être aveugle) chez les personnes de 20 à 74 ans

Le diabète est la principale cause d’insuffisance rénale

60 à 70 % des diabétiques ont des problèmes nerveux comme : perte de sensibilité dans les mains et les pieds, mauvaise digestion, syndrome du canal carpien, impuissance

Amputation : chaque année, 5000 amputations de membres sont pratiquées en France en conséquence du diabète

Hygiène buccale : presque un tiers des personnes diabétiques ont de graves problèmes de gencives.

Mais alors, que s’est-il passé exactement ?

La réponse tient dans un mot de 6 lettres. Et elle intéressera toutes les personnes qui pensent avoir un mode de vie sain, qui s’intéressent de près à la nutrition, mangent des légumes, des fibres, achètent bio, sont abonnées à des revues de santé naturelle mais oublient elles aussi qu’un ennemi redoutable et bien caché fait partie de leur vie.

Le S-T-R-E-S-S.
Là, je vois votre tête d’ici, vous êtes peut-être en train de vous dire : « Oh non, pas le stress !!!
C’est LE “marronnier” des médecines douces, le sujet des magazines santé quand ils n’ont pas d’idées…
Qu’est-ce qu’on peut bien ajouter là-dessus qui n’a pas été dit ? »

Halte là ! Il est vrai qu’on a écrit et dit beaucoup de choses sur le stress, au point qu’il est devenu un sujet banal, presque ennuyeux.
Et c’est la double peine : car le résultat est qu’on oublie de regarder la terre brûlée laissée par le stress partout où il passe.

Pour mieux s’en convaincre, revenons à Richard, notre Fil de Fer.

Oui, il prenait soin de son alimentation, oui il entretenait scrupuleusement sa forme physique, mais il a largement négligé sa forme morale.
Or depuis deux ans, il vivait le contrecoup de la perte de son père, mort d’un cancer de la prostate, et de changements importants dans son travail (il est journaliste).

Richard pensait surmonter ces pressions supplémentaires en se contentant d’une alimentation saine et de la pratique d’un exercice régulier.

Comme beaucoup d’entre nous, il s’est dit : « ok, je suis stressé, mais c’est comme ça.
C’est la vie qui est stressante, voilà tout ».

Erreur. Une étude parue dans le journal Psychosomatic Magazine (5000 personnes étudiées sur 13 ans) a montré que les personnes qui subissaient une forte pression professionnelle augmentaient de 45 % leur risque d’avoir du diabète.

Une étude canadienne de l’Université de Toronto avait déjà montré que près de 20 % des cas de diabète de type 2 étaient associés chez les femmes au stress au travail.

L’explication du lien entre les deux n’est pas certaine, mais le diabète de type 2 est un diabète résistant à l’insuline.
La personne produit de l’insuline mais son corps a développé une résistance qui le rend insensible à l’insuline.
En cas de stress, le corps produit une hormone, le cortisol, qui pourrait entraver la production d’insuline.

Ainsi, le stress contribuerait lui aussi fortement à l’apparition du diabète.
Pour les personnes concernées, ce n’est donc pas seulement le surpoids, l’obésité ou l’index glycémique qu’il faut surveiller comme le lait sur le feu, mais aussi le stress.

Le combat d’une vie
S’attaquer au stress qui nous dévore la santé, c’est presque le combat d’une vie.

Alors comment une simple lettre (gratuite, en plus…) pourrait-elle nous aider ?
Là encore, il faut peut-être s’inspirer de l’exemple de Richard Doughty.

L’élément déterminant qui l’a conduit vers un chemin de guérison a été la prise de conscience que ce « stress » n’était pas simplement un mot, une « abstraction », quelque chose dont on parle mais qui concerne toujours les autres.
Le stress était bien au cœur de sa vie, et c’était à lui de faire en sorte de l’en dégager.

Comment ?
Aucune formule n’est universelle : la phytothérapie, le yoga ou la sophrologie ne sont pas adaptés pour tous et peuvent même parfois avoir des aspects insupportables et des effets contre-productifs !

C’est à chacun de trouver sa méthode. En respectant une règle essentielle : la gestion du stress ne peut se passer d’une approche associant l’esprit et le corps.

Huiles essentielles (lavande, ravinstara, camomille romaine etc.), prise de nutriments (probiotiques, vitamines B, C) [2] [3], respiration, pratiques millénaires (comme la méditation ou le yoga) ou plus modernes (comme la sophrologie ou la danse), toutes s’efforcent de favoriser cette réconciliation.

Voici quelques exemples de techniques pour reprendre le contrôle sur son stress :
La méditation améliore la gestion des émotions, ainsi que les capacités de concentration.
Chez les grands pratiquants, les études ont montré une augmentation de l’épaisseur corticale dans les zones impliquées dans la gestion des émotions.

Le massage diminue le stress. Tout récemment, on a montré que la caresse quotidienne et pendant 8 jours chez la souris renforçait le système immunitaire lorsqu’il était réalisé avec la main et non pas avec une brosse douce [4]. La pratique d’un massage avant une exploration coronaire diminue l’anxiété des patients.

On sait à présent que l’hypnose modifie le fonctionnement de zones cérébrales (en particulier le cortex cingulaire antérieur) et la connectivité entre de nombreuses zones impliquées dans les processus sensoriels, affectifs, cognitifs et environnementaux.

La pratique du Qi Gong améliore la sensation de bien-être, l’image de soi chez des enfants de 13-14 ans [5] et semble modifier l’aspect de l’électroencéphalogramme après une longue pratique [6].

Le yoga a montré son efficacité dans les troubles de l’humeur et de l’anxiété, seul ou associé à des médicaments.
Comme pour la méditation, on observe des modifications du fonctionnement cérébral, en particulier au niveau de l’amygdale et du cortex frontal.

Ce ne sont là que quelques exemples.  
Il va sans dire que l’alimentation joue aussi un rôle fondamental, complémentaire à celui de l'esprit, dans le rétablissement d’un cycle glycémique naturel.

Les derniers résultats publiés par les Dossiers de Santé & Nutrition du Dr. Jean Paul Curtay à ce sujet sont exceptionnels.
Il vous explique comment vous pouvez, par une approche globale, vous aussi prévenir et guérir le diabète.

Bien sûr, cela réclame de la détermination, du courage, même.

C’est une raison de plus pour bannir le stress de votre vie, et pouvoir adopter ces changements avec sérénité.
Le chant, la prière, le rire, les pensées positives, les voyages, les amis, les animaux de compagnie, la marche dans la nature, la contemplation, le sport en équipe, l’art, la musique, la philosophie, la cuisine, le bon vin, la natation, le cinéma, les activités manuelles, le jardinage, la lecture, l’aromathérapie ont eux aussi une action bénéfique contre le stress…

Vous avez sans doute votre technique, celle qui a marché pour vous.
Et je suis sûr que les lecteurs de PureSanté vous remercieront de la partager en commentaire de cet article.

Santé !

Gabriel Combris

Sources :
[1] Skinny people get type 2 diabetes too

[2] Les probiotiques pourraient diminuer stress et anxiété

[3] Des vitamines et minéraux contre le stress

[4] Massage-like stroking boosts the immune system in mice. Major B, Rattazzi L, Brod S, PilipoviÄ I, LeposaviÄ G, D'Acquisto F, Sci Rep. 2015 Jun 5;5:10913. doi: 10.1038/srep10913

[5] Qigong training and effects on stress, neck-shoulder pain and life quality in a computerised office environment. Skoglund. Complement Ther Clin Pract. 2011.

[6] A forty-five year follow-up EEG study of Qigong practice. Qin. Int J Neurosci. 2009.

Sucre, Index glycémique, diabète, etc - Page 4 4184421548

Les informations de cette lettre d'information sont publiées à titre purement informatif et ne peuvent être considérées comme des conseils médicaux personnalisés. Aucun traitement ne devrait être entrepris en se basant uniquement sur le contenu de cette lettre, et il est fortement recommandé au lecteur de consulter des professionnels de santé dûment homologués auprès des autorités sanitaires pour toute question relative à leur santé et leur bien-être. L’éditeur n’est pas un fournisseur de soins médicaux homologués. L’éditeur de cette lettre d'information ne pratique à aucun titre la médecine lui-même, ni aucune autre profession thérapeutique, et s’interdit formellement d’entrer dans une relation de praticien de santé vis-à-vis de malades avec ses lecteurs. Aucune des informations ou de produits mentionnés sur ce site ne sont destinés à diagnostiquer, traiter, atténuer ou guérir une maladie.

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MessageSujet: Re: Sucre, Index glycémique, diabète, etc   Sucre, Index glycémique, diabète, etc - Page 4 EmptyLun 7 Juin - 7:06

source https://www.sante-corps-esprit.com/guerir-naturellement-diabete/#respond
Il y a 200 ans, ce médecin guérissait naturellement le diabète
19 mai 2016


Mais comment diable faisaient nos ancêtres sans médicament ni machine high-tech ?

C’est une question à poser aux patients du Dr Apollinaire Bouchardat.

Ce médecin visionnaire a guéri des milliers de diabétiques au 19ème siècle, par des méthodes naturelles.

Par bonheur, il a rassemblé ses secrets les plus précieux, issus de 50 ans de pratique, dans un précieux recueil intitulé : Du Diabète sucré – son traitement hygiénique, publié en 1875.

La lecture de ce petit trésor est un émerveillement continu.

A chaque page, on est abasourdi de voir à quel point les prescriptions de ce génie méconnu correspondaient en tous points aux résultats des recherches scientifiques les plus récentes.

Quel gâchis que la médecine académique l’ait laissé moisir pendant plus d’un siècle sur les étagères d’une bibliothèque !
Et quel temps perdu pour les malades.

[u]Son seul tort : guérir le diabète naturellement et sans effet secondaire
Les recommandations alimentaires officielles pour les diabétiques ont au moins 20 ans de retard sur les données scientifiques récentes.

Mais elles ont surtout 150 ans de retard sur les observations du Dr Bouchardat !

Avez-vous seulement entendu parler de ce Français, bienfaiteur de l’humanité ?
Je suis sûr que non.
Son nom n’est même pas prononcé dans les écoles de médecine !

Il aurait sans doute eu droit au Panthéon s’il avait inventé un médicament.
Mais son « tort » a été de guérir les diabétiques naturellement, sans effet secondaire.

Son traitement faisait même mieux que les molécules chimiques actuelles : dans la plupart des cas, il redonnait à ses patients une énergie et une longévité impossibles à obtenir par des moyens artificiels.
Un médecin confronté à des diabètes complexes et avancés
Je sais que cela paraît difficile à croire.
Mais laissons-lui la parole

« Je n’ai pas cessé, depuis bientôt cinquante ans, de m’occuper de toutes les questions qui se rapportent au diabète sucré.
Dès le principe, laissant de côté toute théorie, j’ai voulu rechercher les causes de cette maladie redoutée à juste titre.
J’ai d’abord déterminé expérimentalement l’influence des principaux aliments sur la perte du sucre par les urines qui, pour plusieurs malades, peut dépasser la quantité de cinq cents grammes »

Je dois ici apporter une petite précision médicale : le Dr Bouchardat suivait la progression des ses patients diabétiques grâce à la mesure régulière du sucre dans leurs urines.

C’est une pratique encore courante de nos jours, notamment pour détecter le diabète gestationnel chez les femmes enceintes.
L’analyse d’urine a le grand avantage de pouvoir être faite par le patient lui-même, tous les jours s’il le faut, et ainsi de suivre l’évolution de son état.

Mais l’analyse de sang est devenue incontournable car elle permet de détecter très à l’avance les risques de complication du diabète. Avec votre taux de « glycémie à jeun », on sait si vous vous approchez dangereusement du seuil du diabète.

En fait, on trouve du sucre dans les urines seulement lorsque le diabète est très avancé (insulino-dépendant).
C’est dire si le Dr Bouchardat était confronté à des cas de diabète enracinés et difficiles à guérir !

Et pourtant, il est formel. Le diabète peut être vaincu :
« Aujourd’hui, si l’on excepte la glycosurie de l’enfance (diabète de type I) et les complications irrémédiables, avec de la volonté, de l’intelligence et de la persévérance le pronostic est toujours favorable. »

Faut-il le croire sur parole ?

Non, bien sûr. Mais il faut savoir qu’il était un des médecins les plus respectés de son temps.

Des guérisons qui n’ont rien de « miraculeuses »
D’ailleurs, il n’était pas que médecin, il était aussi pharmacien.
Ce qui lui a permis d’occuper l’un des postes les plus prestigieux de son époque : celui de chef-pharmacien à l’Hôtel-Dieu de Paris.

On peut donc lui accorder une confiance raisonnable lorsqu’il rapporte de très nombreux cas remarquables de guérison, comme celui-ci :

« Un pauvre ouvrier de 35 ans, vint me trouver pour me prier de faciliter son entrée à l’Hôtel-Dieu.
Il était déjà depuis plus d’une année atteint de glycosurie (diabète), ses forces étaient anéanties, son appétit et sa soif excessifs.(…)

Je dis à ce pauvre malade : « Si vous m’en croyez, n’entrez pas à l’Hôtel-Dieu.
Avec de grands soins, on pourra vous y soulager momentanément, mais au sortir de l’hôpital, vous ne serez pas plus avancé ».

Je lui exposais avec le plus grand soin comment il convenait de régler son régime pour le rendre efficace et économique (…).

Trois mois après, il me revint avec une santé florissante, ses urines ne contenaient plus de sucre ; huit jours de régime sévère avec l’exercice avaient suffi pour faire disparaître la glycose. Je l’ai revu après deux années, ses urines ne contenaient plus de glycose.
Il se considérait comme guéri ».

Miraculeux ? Oui, mais pas mystérieux.
Comme vous allez le voir, c’est par une enquête patiente et minutieuse que le Dr Bouchardat a élaboré son régime.

Il a mis le doigt sur les causes élémentaires du diabète
Très rapidement, il s’est rendu compte qu’il n’y avait rien d’accidentel dans l’apparition du diabète.

Il observe en effet que les diabétiques un « goût prononcé pour le pain, les autres aliments féculents et sucrés », et font un “abus de limonades, de la bière, du cidre, de fruits, de raisins, d’aliments sucrés ».

Il remarque aussi que les laboureurs et vignerons ne sont jamais atteints par le diabète.

Pourtant, leur alimentation est très riche en féculents.
Mais, explique-t-il,  « le travail énergique de chaque jour régularise l’utilisation complète des aliments glycogéniques».

Cela veut dire, dans le langage d’aujourd’hui, que ces grands travailleurs « brûlent » ces aliments riches en glucides par une activité physique intense et journalière.

Autre fait significatif, il se rend compte que le diabète affecte surtout les classes aisées : ceux qui mangent le plus de nourritures sucrées, et passent l’essentiel de leur temps assis :

« Parmi les professions urbaines, celle que je trouve en première ligne dans le bilan de la glycosurie, ce sont les notaires. (…)
Les notaires sont glycosuriques, parce qu’ils sont assidus à leur étude (…), puis ils sont généralement riches, et ils ne dédaignent pas une table bien servie ».

Comme d’autres médecins de son époque, le Dr Bouchardat a donc recommandé à ses patients de manger avec modération et de faire davantage d’activité physique.

Mais son génie est venu de la nature exacte et précise des aliments recommandés et défendus.

Non seulement il a mis au point un régime conforme aux données scientifiques les plus récentes, mais il s’est appliqué à le rendre facile à suivre sur le long terme.
Car il savait bien que, si le régime était trop contraignant, ses patients finiraient par l’abandonner.

Examinons ce fameux régime en détail.

Chacune de ses recommandations sont autant de pépites – pour les diabétiques, bien sûr, mais aussi pour tous ceux qui cherchent à perdre du poids :

Les aliments défendus : féculents, lait, aliments et boissons sucrées
Sa première règle est simple : « la suppression, ou au moins une diminution considérable dans la quantité d’aliments féculents et sucrés. »

Il demande ainsi de supprimer TOUS les féculents :
« Le pain ordinaire, composé soit de froment, soit de seigle, soit d’orge, etc. ; les pâtisseries, le riz, le maïs et autres céréales, les radis [1], les pommes de terre et les fécules de pomme de terre, d’arrow-root, les pâtes farineuses de toutes sortes, telles que vermicelle, semoule, macaroni, etc. ; les semences des légumineuses, tels que haricots, pois, lentilles, fèves ; les marrons et les châtaignes ; la farine de sarrasin. »

C’est une étape indispensable. On sait aujourd’hui que, loin d’être des « sucres lents », la plupart de ces aliments ont un indice glycémique important, c’est-à-dire qu’ils élèvent fortement le sucre sanguin.

L’autre interdit majeur, ce sont bien sûr les aliments sucrés :
« Je proscris les fruits sucrés, tels que raisins (qui contiennent quelquefois le tiers de leur poids de sucre), les prunes, les abricots, les pommes, les poires, les melons, les figues, et en général tous les fruits sucrés, frais ou desséchés, tels que pruneaux, raisins secs, figues, etc. et à plus forte raison les différentes variétés de confitures, les glaces, sorbets glacés, etc. »

Tous, effectivement, sont très sucrés et donc à éviter. Le seul aliment qui pourrait surprendre est la pomme, qui a une charge glycémique modérée.
Mais il faut garder à l’esprit que le Dr Bouchardat faisait face à des diabètes très enracinés, pour lequel toute dose modérée de sucre était un frein à la guérison.

C’est pourquoi il proscrit aussi ces autres aliments contenant du sucre : les « racines contenant du sucre de canne, telles que les betteraves, les carottes, les oignons, les raves, les navets, etc. »

Mais le Dr Bouchardat n’est pas un « idéologue » borné.
C’est par l’observation qu’il a conçu son régime, et non par l’obsession de supprimer toute trace de sucre :
« Les fruits rouges, tels que fraises, cerises de toutes variétés, groseilles, framboises, mûres, berbéris, etc. semblent au premier abord être plus nuisibles que les fruits sucrés car, comme eux, ils renferment du sucre et en plus des acides, dont il ne faut point abuser. Cependant, l’observation m’a montré qu’ils étaient moins à redouter que les fruits simplement sucrés que j’ai énumérés. »

Cette remarque est d’autant plus remarquable qu’il est aujourd’hui démontré que les petits fruits noirs et rouges sont bourrés d’antioxydants, qui aident à vaincre le diabète. [2]

Et voici une autre recommandation sur laquelle il a eu 150 ans d’avance : celle de proscrire le lait pour les diabétiques :

« Il y a longtemps que j’ai établi que les 50 grammes de lactine d’un litre de lait pouvaient donner 50 grammes de glycose dans les urines d’un glycosurique. »

Voilà donc un fait connu depuis… le milieu du 19ème siècle.
Grâce aux moyens modernes, on sait en plus, aujourd’hui, que le lait contient de l’insuline bovine et dérègle la capacité de l’organisme à contrôler le sucre sanguin.

Et pourtant, nos autorités de santé, sous la pression des industriels du lait, continuent de prescrire aux diabétiques « au moins trois produits laitiers par jour ».

Mais le Dr Bouchardat lui, ne se fiait qu’à ce qu’il voyait sur le terrain, comme cette histoire significative :
« M… est âgé de quarante-huit ans ; il habite une localité voisine de la mer.
Il consulta un médecin…
Il lui prescrit le régime que j’ai fait connaître. Aucune amélioration.
Je fis un inventaire exact de tous les aliments ingérés pendant les 24 heures.
Je trouvais le régime bien réglé (…) J’eus la pensée d’interroger le malade sur la nature et la quantité de boissons, et j’appris que chaque jour, pour se désaltérer, il consommait trois litres de lait.
Je lui fis suspendre immédiatement l’usage de cette boisson alimentaire.
Après deux jours de cette abstention, ses urines ne contenaient plus aucune trace de glycose.
Le malade retourna dans son pays, reprit ses occupations très-actives, régla son régime avec intelligence, suspendit l’usage du lait, et sa santé devint excellente. »

Enfin, le régime du Dr Bouchardat interdit évidemment les boissons sucrées : « limonades gazeuses, vins de Champagne, bière et cidre » (aujourd’hui, il ajouterait les sodas et jus de fruit).

Au total, il vrai que cela fait beaucoup d’interdits ! Mais la longue liste des aliments permis montre que ce régime n’a rien d’insoutenable.

Les aliments recommandés : viande, poisson, œufs (avec modération)
Toutes les viandes sont recommandées « avec tous les assaisonnements qui stimulent l’appétit, pourvu que la farine n’intervienne pas dans les sauces. »

Même blanc-seing pour les poissons, que l’on peut « accommoder avec de l’huile en grande quantité et du vinaigre en petite proportion ». Aucun problème non plus avec les « autres animaux alimentaires, tels que les huîtres, les moules, les escargots, les langoustes, les crevettes, les grenouilles. »

Il note que les « œufs, sous toutes formes variées qu’a imaginé l’art culinaire, sont d’une grande utilité».
Sont autorisés également « la crème privée de lait »  (le beurre) et les « fromages de toutes sortes».

Le Dr Bouchardat recommande bien sûr de consommer tous ces aliments avec modération.

Mais il n’est pas favorable pour autant à une trop forte restriction calorique – ce qu’on appelle la « diète », à l’époque.

Peut-être avait-il observé l’effet « yo-yo » des régimes ?
En tout cas, sa prescription est claire : « un homme habitué à faire de trop copieux repas ne doit venir que graduellement à des habitudes plus sobres, qu’une lente mastication aide à prendre ».

De la graisse en quantité pour éviter la faim

Car s’il y avait bien une chose qui obsédait le Dr Bouchardat, c’est que ses patients ne souffrent pas de la faim, « n’éprouvent point ce sentiment de vacuité stomacale qui leur est si pénible ».

Il n’avait pas accès (fort heureusement) aux médicaments chimiques « coupe-faim » comme l’Isoméride ou le Médiator… mais il avait beaucoup mieux : « les corps gras ».

Pour compenser la suppression des féculents et aliments sucrés, il conseille ainsi aux diabétiques de consommer les graisses les plus variées :

« Beurre, lard, graisses de porc, de veau, de bœuf, de mouton, de cheval, etc., d’oies, de canard », « l’huile de foie de morue » (sa préférée) et « les huiles d’olives, d’œillet, de noix, de sésame, de faîne, de chènevis exprimés à froid, de navette, de colza. »

Visionnaire, là encore !
Car les bonnes graisses sont précieuses contre la faim.
Elles permettent d’obtenir un sentiment de satiété beaucoup plus solide que les glucides (féculents et aliments sucrés).

Et elles ont un intérêt supplémentaire : « les viandes, les poissons, les œufs, les boudins, etc., deviennent plus savoureux par leur judicieuse intervention ».

C’est tellement vrai que les produits industriels d’aujourd’hui, « allégés en graisse », sont bourrés de sucre pour essayer de leur donner un peu de goût.

Au final, les recommandations du Dr Bouchardat sont à l’opposé de celles qui ont circulé en Occident à partir des années 1970-1980. On a dit aux Américains et Européens de manger « moins gras »…
Pour compenser, ils se sont mis à manger davantage de sucre et de féculents… et comme par hasard, c’est à ce moment-là qu’a commencé l’épidémie de diabète et d’obésité !

Sans oublier les végétaux et oléagineux
Le Dr Bouchardat vante enfin l’intérêt des végétaux (les « herbes ») :
« Les herbes devront intervenir à chaque repas en proportion modérée.
Être bien mâchées, pour éviter la distension de l’estomac, elles devront être associées à une forte proportion de corps gras, qui favorisera le glissement des aliments herbacés dans l’intestin et qui complétera l’alimentation. »

Entre parenthèses, c’est un conseil d’autant plus judicieux que l’on sait aujourd’hui que manger des végétaux avec de la matière grasse permet de mieux absorber leurs vitamines et minéraux.

Les végétaux recommandés sont très nombreux :
« Les épinards, la chicorée, la laitue, les asperges, les artichauts, les haricots verts, les salsifis, les cardons, les concombres, les choux de Bruxelles, les choux fleurs, les choux. (…)
Les salades de cresson surtout, de chicorée, de pissenlit, de romaine, de scarole, de barbe de capucins, de scorsonère, de laitue, de mâche. (…) Les champignons conviennent. »

Quant aux précieux oléagineux, le Dr Bouchardat ne les oublie pas :
« Pour le dessert, avec les fromages, les olives conviennent très bien ; les autres fruits oléagineux, tels que les noix, les amandes, les noisettes, les pistaches, contiennent un peu de sucre et ne sont permises en quantité élevée que lorsque les urines ne sont plus sucrées. »

Au total, ce régime très complet devrait éviter d’avoir faim.

Mais le Dr Bouchardat a deux astuces pour ceux qui en souffriraient quand même : « manger dans la journée des graines de cacao torréfiés ou du chocolat sans sucre ni farine » (du chocolat 100 %) et, encore mieux « mâcher des olives« .

Et l’alcool ?
Le vin est un sujet sur lequel le Dr Bouchardat a évolué toute sa vie.
Au départ, il n’hésitait pas à prescrire du vin rouge (« de Bordeaux ou de Bourgogne ») dans des quantités paraissant incroyables aujourd’hui : jusqu’à deux litres par jour !
Cela correspondait à la consommation habituelle de vin en France à une époque où, pour des raisons sanitaires, boire du vin et des boissons fermentées était moins dangereux que de l’eau (l’alcool et les bactéries évitent les contaminations).

Cependant, il a commencé à diminuer la dose, recommandant « un litre dans les vingt-quatre heures » pour les hommes (qu’il conseillait de couper avec de l’eau si nécessaire).

A la fin de sa vie, toutefois, il conseillait à ses patients la plus grande modération dans leur consommation de vin.

C’était en effet, un meilleur conseil. Mais le Dr Bouchardat avait une bonne excuse.
Car on sait depuis peu que le resvératrol, un polyphénol présent dans le raisin et le vin rouge, est puissant antidiabétique !

C’est pourquoi il observait que le vin avait un effet thérapeutique.
Mais il a été conduit à s’apercevoir au fil du temps que ce bienfait était généralement plus que compensé par les effets négatifs de l’alcool (notez qu’aujourd’hui, les compléments alimentaires permettent d’avoir les avantages du resvératrol sans les inconvénients de l’alcool).

Un régime « d’attaque » pour préparer des lendemains qui chantent
Vous aurez peut-être reconnu, dans toutes ces recommandations, les caractéristiques principales d’un régime paléo (sans lait ni céréales), riche en graisse et pauvre en glucide.

C’est précisément le type de régime qui, dans plusieurs études récentes, a permis d’inverser le diabète de type II. [3]

Mais dans l’esprit du Dr Bouchardat, ce régime très rigoureux au départ doit pouvoir être assoupli, une fois que l’état du patient s’est amélioré :

« Il importe, en commençant le traitement, de rendre le régime assez rigoureux pour obtenir promptement la disparition complète de la glycose des urines.
Après quelques semaines du retour des urines à l’état normal, il faut revenir peu à peu à l’usage modéré des aliments glycogéniques. »

Une fois restaurée la capacité de l’organisme à stabiliser naturellement le sucre sanguin, il est donc possible de réintroduire des aliments glucidiques avec modération, ce qui est une excellente nouvelle pour les malades :
« Par l’alimentation, avec du temps, de la vigilance, je fais perdre à l’organisme de mauvaises habitudes morbides, et dans plusieurs cas, j’ai vu se rétablir ainsi l’harmonie des fonctions. (…)
Chez un grand nombre de malades on peut revenir à un usage suffisant des féculents sans que le sucre reparaisse dans les urines. »

Voilà donc les clés du régime du Dr Bouchardat contre le diabète.
Je vous le recommande si vous êtes diabétique ou pré-diabétique.

Mais la prescription de notre médecin visionnaire ne s’arrête pas là.
Il avait aussi une deuxième arme secrète contre le diabète.

L’activité physique, le coup de grâce contre la maladie
« Il est des cas, nous dit le Dr Bouchardat, où le régime seul suffit ».
Mais « l’exercice est une condition des plus favorables pour faire disparaître les dernières traces de glycose. »

Là encore, c’est une phrase prémonitoire lorsque l’on sait (depuis peu !) que certaines formes d’exercice physique sont très efficaces pour vaincre la résistance à l’insuline des diabétiques.

Mais attention, tous les exercices ne se valent pas :
« Il est un exercice qui possède ce précieux avantage, ce sont les travaux en commun bien réglés et progressifs, avec l’accroissement des forces, dans un gymnase convenablement dirigé, fourni d’appareils variés, où toutes les précautions sont prises pour éviter les contusions, les écorchures, et l’excès de travail. »

Autrement dit : la musculation… en salle de sport !

Des activités comme la marche rapide sont précieuses, dit-il, mais elles ne donnent pas autant de résultats.
Pour le Dr Bouchardat, il est important que « après des exercices qui en moyenne doivent durer une heure, le corps soit baigné de sueur ».

Et, une fois de plus, la science la plus moderne confirme son diagnostic !

D’abord, sur l’intérêt ce que Bouchardat appelle « le travail de force » (la musculation).
On sait aujourd’hui que la masse musculaire a un effet mécanique contre le diabète : comme les muscles ont besoin de sucre, plus vous êtes musclé, plus vous réduisez la quantité de sucre qui circule dans votre sang.

Et pourquoi faudrait-il être « baigné de sueur » ?
Parce que ce sont les exercices à haute intensité (musculation ou exercices « fractionnés ») qui sont les plus efficaces pour les diabétiques – cela signifie que, si vous faites de la course, du vélo ou de la natation, il vaut mieux faire des séries de 5 à 8 sprints répartis sur 20 minutes plutôt qu’une longue séance d’endurance en restant à la même vitesse. [4]

Guérir, sans médicament
Et voilà comment, sans le moindre médicament, le Dr Bouchardat a guéri le diabète de milliers de patients, tout en renforçant leur force et leur santé générale.

Je lui laisse le dernier mot :
« Je n’ai pas la prétention de guérir tous les glycosuriques qui viennent réclamer mes soins. (…)
Mais on peut dire que le traitement que j’ai institué réussit à entraver la marche de la maladie, et à prévenir ou à retarder une fatale terminaison.

La science compte-t-elle un si grand nombre de méthodes thérapeutiques qui guérissent quand cela est possible encore, dont l’efficacité soit aussi sûre qu’une réaction chimique parfaitement connue, et dont l’innocuité soit incontestable, même dans les cas les moins heureux ? »

De l’humilité, de la prudence et du bon sens… Voilà un autre « régime » dont la médecine moderne aurait tant besoin !

Bonne santé !

Xavier Bazin

Sources
[1] Il reconnaît que les radis ne sont pas des féculents mais il a observé un effet délétère de leur consommation chez les diabétiques.

[2] Bioactives in Blueberries Improve Insulin Sensitivity in Obese, Insulin-Resistant Men and Women, April J. Stull et al. J Nutr. 2010 Oct

[3] A Randomized Pilot Trial of a Moderate Carbohydrate Diet Compared to a Very Low Carbohydrate Diet in Overweight or Obese Individuals with Type 2 Diabetes Mellitus or Prediabetes, Laura R. Saslow, PLoS One. 2014

    Metabolic and physiologic effects from consuming a hunter-gatherer (Paleolithic)-type diet in type 2 diabetes, Masharani U, Eur J Clin Nutr. 2015 Aug

[4] High intensity intermittent exercise improves cardiac structure and function and reduces liver fat in patients with type 2 diabetes : a randomised controlled trial, Cassidy S, Diabetologia. 2016 Jan

   The effects of high-intensity interval training on glucose regulation and insulin resistance: a meta-analysis, Jelleyman C, Obes Rev. 2015 Nov

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MessageSujet: Re: Sucre, Index glycémique, diabète, etc   Sucre, Index glycémique, diabète, etc - Page 4 EmptyLun 7 Juin - 7:06

source http://www.sante-corps-esprit.com/guerir-diabete/#respond
Ce qu’on ne vous dit pas sur le diabète
29 juin 2016


Je ne suis pas adepte de la théorie du complot, mais il n’y a pas d’autre manière de le dire : on vous ment sur le diabète de type II (le plus fréquent).

Et ce n’est pas un petit mensonge, de ceux que l’on pardonne facilement. C’est un mensonge grave et de grande ampleur :
– D’abord, on vous dit que c’est une maladie incurable – alors que c’est faux ;

– Ensuite, on vous conseille un régime alimentaire qui amplifie votre diabète au lieu de l’améliorer ;

– Et enfin, on minimise le danger des médicaments que l’on vous prescrit… et dont vous pourriez vous passer si l’on vous donnait de bons conseils !

En France, cette désinformation enferme 3 millions de diabétiques dans une triste situation : ils sont assistés à vie par des traitements médicaux, et condamnés à subir une dégradation lente et continue de leur état de santé… en risquant l’infarctus, l’amputation ou la cécité, trois complications courantes du diabète.

Et pourtant, le diabète n’a rien d’une fatalité.

La preuve : il arrive qu’il disparaisse… après une simple opération chirurgicale !

Passer sur le billard… et ressortir sans diabète
Vous avez peut-être déjà entendu parler des opérations de chirurgie « bariatrique ». Elles consistent à réduire la taille de l’estomac, ce qui force à manger moins.

Ces opérations sont risquées. Je ne les recommande évidemment pas… sauf dans des cas très particuliers : lorsque quelqu’un souffre « d’obésité morbide » (50 ou 100 kilos en trop) et qu’il a déjà vraiment tout essayé pour maigrir, sans succès.

Car les médecins se sont aperçus que ces opérations ont des résultats spectaculaires contre le diabète de type 2 – une maladie que l’on disait incurable.

Au bout de trois ans, un tiers des diabétiques opérés n’ont plus le diabète, contre 5 % chez ceux qui suivent les traitements classiques. [1]

Et ce n’est pas tout : tous les patients opérés voient leur état s’améliorer de façon spectaculaire. Seuls 5 à 10% prennent encore de l’insuline (le traitement le plus violent) 3 ans après, contre 55 % des autres patients.

C’est bien la preuve que le diabète n’est pas incurable ! Et la bonne nouvelle est que vous n’avez pas besoin du bistouri pour y arriver.

Car si les patients opérés ont eu de tels résultats, c’est simplement parce qu’ils ont perdu 5 fois plus de poids que les autres.

Perdre du poids est bien sûr plus facile à dire qu’à faire… mais c’est toujours possible, même sans opération !

Un simple régime peut guérir le diabète de type II
C’est ce qu’ont prouvé à deux reprises des chercheurs de l’université de Newcastle, dirigés par un médecin visionnaire, le Professeur Roy Taylor.

En 2011, il avait déjà montré qu’un régime très restrictif (600 calories par jour) permettait d’inverser le diabète chez 11 malades en seulement 8 semaines. [2]

Trois mois après la fin du régime, 64 % des participants ne présentaient toujours aucun symptôme de la maladie. Leur glycémie à jeun (taux de sucre dans le sang avant un repas) était revenue dans les normes.

Cette étude publiée dans la revue médicale Diabetologia avait suscité beaucoup d’excitation… mais il restait à prouver que cette guérison apparente pouvait durer plus de trois mois.

C’est chose faite depuis mars 2016 et la publication d’une nouvelle étude, par la même équipe. [3]

Elle a fait suivre à nouveau ce régime restrictif à 30 diabétiques pendant 8 semaines. Mais cette fois, ils ont enchaîné avec une phase de « stabilisation » pendant 6 mois, conçue pour éviter qu’ils ne reprennent du poids (pauvre en glucides).

Pendant toute cette période, ils ont totalement arrêté leurs médicaments ou leurs injections d’insuline (mais attention : ils étaient sous surveillance médicale constante, en aucun cas vous ne devez arrêter votre traitement sans l’accord de votre médecin).

Les résultats ont dépassé les espérances : 40 % des patients ont retrouvé une glycémie à jeun inférieure à 1,26 g/L. Cela signifie que, médicalement parlant, ils n’étaitent plus considérés comme diabétiques. Ils avaient vaincu la maladie !

C’est la preuve qu’il est possible d’inverser le diabète en modifiant son alimentation.

Je dis bien modifier, car manger mieux est selon moi plus important que manger moins.

Changer d’alimentation fonctionne aussi !
Car contrairement à ce que l’on vous raconte, il existe bien une catégorie d’aliments qui entretient et aggrave votre diabète… et ce n’est pas du tout ceux qui sont « gras » !

Ce sont les sucres de toutes sortes, et en particulier ceux qui font monter trop rapidement votre taux de sucre sanguin (on dit qu’ils ont un « indice glycémique » élevé). C’est le cas du sucre de table, bien sûr, mais aussi de la plupart des féculents comme le pain ou les pommes de terre.

Quand vous savez comment fonctionne le diabète, l’intérêt de réduire les glucides relève du bon sens. La définition même de cette maladie est d’avoir un taux de sucre dans le sang anormalement élevé.

Mais c’est aussi ce que prouvent d’innombrables études scientifiques depuis des années. [4]

Je vais vous en détailler deux – les plus récentes – pour que vous mesuriez à quel point le discours « officiel » sur le diabète est dépassé.

Plus de bonnes graisses, moins de glucides (sucres et féculents)
En 2014, des chercheurs de l’Université de Californie de San Francisco [5] ont sélectionné 34 patients obèses, prédiabétiques ou diabétiques. Ils les ont divisés en deux groupes :
– Le premier groupe devait suivre les recommandations officielles américaines : un régime limité en calories, riche en glucides (165 grammes par jour, soit 45 à 50 % des calories) et pauvre en graisse ;

– Le second groupe devait suivre une alimentation riche en graisse et très pauvre en glucides, avec environ 20 à 50 g de glucides par jour. Contrairement à ceux du premier groupe, les participants avaient le droit de manger autant qu’ils le voulaient.

Après trois mois, le groupe suivant un régime pauvre en glucides (appelons-le « le groupe graisse ») a battu à plate couture le groupe qui suivait le régime officiel (appelons le « groupe glucide ») :

– Perte de poids : le groupe « graisse » a perdu deux fois plus de poids que le groupe « glucide », alors que ses participants n’avaient pas pour consigne de manger moins de calories ;

– Sucre dans le sang : le glucose sanguin avait diminué dans le groupe « graisse », alors qu’il n’avait pas bougé d’un pouce dans le groupe « glucide » ;

– Traitements médicaux : 44 % des personnes du groupe « graisse » ont pu arrêter un ou plusieurs de leurs médicaments, contre 11 % seulement dans le groupe « glucide ».

Ces résultats sont impressionnants. Le seul bémol est que le régime « graisse » en question est très contraignant, puisqu’il exclut même les fruits les plus sucrés.

Faites comme nos ancêtres chasseurs cueilleurs
Heureusement, il existe un régime alimentaire plus simple, qui fait lui aussi des merveilles contre le diabète… et que vous pouvez facilement tenir toute votre vie.

Il consiste à manger comme nos ancêtres chasseurs cueilleurs : légumes, fruits, noix, œufs, viande, poisson, coquillages, etc. Seuls les aliments apparus avec l’agriculture, il y a 10 000 ans, sont interdits, en particulier les céréales et les laitages.

C’est le délicieux régime « paléo ». Il supprime par définition les aliments à indice glycémique très élevé que sont les produits céréaliers (pain, céréales du petit-déjeuner, pâtes, pizza, etc.).

C’est la raison pour laquelle il est particulièrement bénéfique aux diabétiques, comme l’ont montré plusieurs études. [6]

La dernière en date, publiée en 2015 a montré qu’il suffisait de seulement deux semaines de cette alimentation pour améliorer la totalité des marqueurs sanguins du diabète. [7]

Là encore, ces résultats étaient largement supérieurs à ceux du « groupe de comparaison », qui, lui, devait suivre à la lettre le régime « officiel », incluant des céréales complètes, des légumes secs et des produits laitiers maigres.

Les autorités françaises sont en retard sur la science
Pourtant, malgré l’accumulation des preuves scientifiques, les autorités françaises continuent de recommander aux diabétiques :

– De consommer une quantité énorme de glucides (plus de 50 % des apports énergétiques journaliers), ce qui est manifestement contre-productif ;

– De consommer des féculents (pain, pâtes, patates) à chaque repas, alors que ces aliments font augmenter fortement le sucre sanguin et sont directement impliqués dans l’épidémie de diabète et de surpoids que les pays occidentaux connaissent depuis 30 ans !

Vous comprenez pourquoi je parle de mensonge.

Avec un régime pareil, perdre du poids sera un parcours du combattant… et vous n’avez quasiment aucune chance de guérir votre diabète.

Et pourtant, ce sont bien les recommandations du Programme National Nutrition Santé (PNNS). Vous les retrouvez même sur le site de la Fédération Française des Diabétiques, sur la page « Le régime anti-diabète ». [8]

Le triste poids des conflits d’intérêt
Une désinformation de cette ampleur est difficile à comprendre.

Sauf si l’on prend en compte les lobbys de l’industrie agro-alimentaire et de l’industrie pharmaceutique.

Les premiers ont intérêt à ce que les gens mangent du lait, des céréales, du sucre, dont le secteur agricole français est en surproduction permanente (d’où les prix qui chutent).

Les seconds ont intérêt à ce que les diabétiques n’arrêtent pas de prendre leurs médicaments.

Leurs intérêts sont donc les mêmes, maintenir en l’état les recommandations officielles sur le diabète.

Je n’ai pas de preuves directes, mais voici deux coïncidences plus que troublantes :

– Parmi les experts du PNNS, la plupart ont eu des liens d’intérêt avec les industriels du blé ou du lait… qui perdraient beaucoup d’agent si la population se mettait à adopter un régime « paléo » ;

– La Fédération Française des Diabétiques reçoit chaque année des centaines de milliers d’euros des laboratoires pharmaceutiques, comme Lily ou Merck. [9] Les médicaments contre le diabète se prennent à vie… imaginez le manque à gagner pour les labos si l’efficacité du régime se savait !

Et le plus grave, c’est que ces médicaments contre le diabète sont beaucoup moins anodins que ce qu’on essaie de vous faire croire.

Des médicaments anti-diabète tout sauf inoffensifs
Il faut bien comprendre une chose : trouver une molécule qui réduit le taux de sucre dans le sang n’est pas compliqué. Beaucoup de laboratoires y parviennent.

Ce qui est difficile, c’est d’obtenir ce résultat sans détraquer l’organisme.

Car ce n’est pas pour nous embêter que notre corps se met à maintenir un taux de sucre sanguin élevé. On ne sait pas exactement pourquoi, mais c’est la meilleure « solution » qu’il a trouvé pour faire face aux agressions qu’il subit, notamment l’ingestion d’aliments trop riches en sucre, amidon et fructose.

N’oubliez pas que notre corps est d’une grande intelligence. Il sait mieux que personne comment produire le meilleur état de santé, y compris dans l’adversité.

La régulation du sucre sanguin est un équilibre sophistiqué, qu’il est quasiment impossible de modifier à un point de la chaîne sans créer des dégâts à un autre endroit.

Les laboratoires pharmaceutiques en sont donc réduits à essayer des molécules, souvent un peu au hasard, et à prier pour qu’elles produisent plus de bienfaits que de catastrophes.

Inévitablement, dans la plupart des cas, cela se termine mal :
– Les médicaments « sulfonylurées » (les sulfamides hypoglycémiant) couramment utilisés contre le diabète, augmentent de 58 % le risque de décès par rapport au médicament de référence (ils risquent aussi de vous plonger dans le coma) ; [10]

– L’Avandia, un antidiabétique lancé en fanfare en 2002, a été retiré en catastrophe du marché en 2010 par l’Agence Européenne du médicament parce qu’on s’est aperçu (un peu tard) qu’il augmentait considérablement le risque d’infarctus ;

– Les injections d’insuline, difficilement évitables lorsque le diabète est très avancé, ont de graves effets indésirables, dont celui… de faire grossir, un comble lorsqu’on souffre déjà de diabète ! [11]

Quant au médicament de référence, le Glucophage (Metformine), il a beau être de très loin le plus recommandable, il n’est pas sans risque.

Même s’il a été isolé à partir d’une plante médicinale, la Galega Officinalis, lui aussi comporte des effets secondaires non négligeables.

Il crée des carences en vitamine B12, une vitamine dont votre cerveau a grandement besoin pour fonctionner. [12] Il provoque aussi des troubles digestifs permanents, très désagréables. Et dans de très rares cas, il tue le patient en provoquant une acidose lactique.

Même un médicament 100 % efficace et sans risque devrait être évité
Tous ces effets secondaires sont connus et répertoriés. Mais le plus inquiétant dans ce médicament, c’est que personne ne comprend vraiment pourquoi et comment il parvient à réguler le sucre dans le sang.

Ce n’est pas très rassurant : qui sait si l’on ne découvrira pas de nouveaux effets indésirables dans quelques années ?

Mais au fond, les effets secondaires ne sont même pas le plus gros problème.

Même si l’on trouvait une molécule « miracle » qui parvenait à stabiliser le sucre sanguin des diabétiques sans désagrément, il faudrait tout de même éviter de succomber à la facilité.

Parce que le diabète n’apparaît jamais par hasard.

C’est la conséquence d’une hygiène de vie problématique (stress, manque de sommeil, manque d’activité physique) et d’une mauvaise alimentation (trop de sucre, de fructose, de féculents, de produits industriels et d’huiles riches en oméga-6) qui produisent une inflammation de l’organisme.

Le diabète n’est qu’une des manifestations de cette inflammation – la plus visible. Mais ses effets délétères sur votre santé vont bien au-delà.

Par conséquent, si vous vous contentez de stabiliser votre excès de sucre sanguin par une pilule magique, vous ne résoudrez pas le problème de fond qui vous a mené au diabète… vous continuerez à malmener votre organisme… et donc à ruiner votre santé !

« Je n’y peux rien, le patient ne veut pas changer »
Beaucoup de médecins savent bien tout cela.

Mais ils disent qu’ils n’ont pas le choix… qu’ils sont obligés de prescrire la Metformine car ils sont confrontés à des patients qui refusent de changer leurs habitudes.

Cela arrive fréquemment, en effet. Et dans ce cas, le médicament est précieux et inévitable.

Mais je prétends qu’un nombre beaucoup plus grand de patients serait prêt à faire les efforts nécessaires si on leur tenait ce discours de vérité :

– Ne croyez pas que le diabète est incurable. Il est possible de le vaincre naturellement, et les habitudes que vous prendrez pour y parvenir amélioreront aussi votre forme, votre énergie et votre santé ;

– Ne suivez pas les recommandations nutritionnelles officielles. Elles sont datées. Les dernières études scientifiques montrent qu’il est possible de perdre du poids et de stabiliser votre sucre sanguin avec beaucoup moins de sacrifices que vous ne l’imaginez ;

– Essayez à tout prix de vous passer de médicaments : même les pilules les moins dangereuses ont des effets secondaires sérieux et ne s’attaquent pas aux causes réelles de la maladie.

Bonne santé !

Xavier Bazin

Sources :
[1] Bariatric surgery versus intensive medical therapy for diabetes--3-year outcomes, Schauer PR, N Engl J Med. 2014 May
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/24679060

[2] Reversal of type 2 diabetes: normalisation of beta cell function in association with decreased pancreas and liver triacylglycerol, E. L. Lim et al. Diabetologia, 2011 Oct
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3168743/

[3] Very Low-Calorie Diet and 6 Months of Weight Stability in Type 2 Diabetes: Pathophysiological Changes in Responders and Nonresponders. Steven S et al, Diabetes Care, 2016 May
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/27002059

[4] Comparison of low- and high-carbohydrate diets for type 2 diabetes management: a randomized trial, Jeannie Tay et al, The American Journal of Clininal Nutrition, 2015
http://ajcn.nutrition.org/content/early/2015/07/29/ajcn.115.112581

[5] A Randomized Pilot Trial of a Moderate Carbohydrate Diet Compared to a Very Low Carbohydrate Diet in Overweight or Obese Individuals with Type 2 Diabetes Mellitus or Prediabetes, Laura R. Saslow et al, PLoS One, 2014
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3981696/

[6] A Palaeolithic diet improves glucose tolerance more than a Mediterranean-like diet in individuals with ischaemic heart disease. Lindeberg S. and al. Diabetologia. 2007 Sep;50(9):1795-807. Epub 2007 Jun 22.
Effects of a short-term intervention with a paleolithic diet in healthy volunteers. Oesterdahl M. and al, Eur J Clin Nutr. 2008 May;62(5):682-5. Epub 2007 May 16. Beneficial effects of a Paleolithic diet on cardiovascular risk factors in type 2 diabetes: a randomized cross-over pilot study. Jönsson T. and al, Cardiovasc Diabetol. 2009 Jul 16;8:35. Metabolic and physiologic improvements from consuming a paleolithic, hunter-gatherer type diet. Frassetto L. A. and al. Eur J Clin Nutr.2009 Aug;63(Cool:947-55. Epub 2009 Feb 11.

[7] Metabolic and physiologic effects from consuming a hunter-gatherer (Paleolithic)-type diet in type 2 diabetes, Masharani U et al, Eur J Clin Nutr. 2015 Aug
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/25828624

[8] Voir le « Le régime anti-diabète » sur le site web de la Fédération Française des Diabétiques
https://www.federationdesdiabetiques.org/information/alimentation-diabete/equilibre-alimentaire

[9] Voir l’article du site Dur à Avaler qui traite des liens entre la Fédération Française des Diabétiques et l’entreprise Coca-Cola
http://www.dur-a-avaler.com/federation-francaise-diabetiques-insulines-index-glycemie-coca-cola/

[10] European Association for the Study of Diabetes. Abstracts 200 and 201, presented Thursday, September 26, 2013

[11] Effect of patients' risks and preferences on health gains with plasma glucose level lowering in type 2 diabetes mellitus, Vijan S et al, JAMA Intern Med, 2014 Aug
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/24979148

[12] Increased risk of cognitive impairment in patients with diabetes is associated with metformin, Moore EM et al, Diabetes Care, 2013 Oc
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/24009301

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MessageSujet: Re: Sucre, Index glycémique, diabète, etc   Sucre, Index glycémique, diabète, etc - Page 4 EmptyLun 7 Juin - 7:07

source https://www.alternativesante.fr/sucre/sucres-ajoutes-doublement-nefastes-foie
Les sucres ajoutés doublement néfastes pour le foie
Sabrina Debusquat  rédigé le 24 mars 2021

Sucre
Des chercheurs de l’université suisse de Zurich viennent de mener une étude qui nous informe de la nocivité particulière des sucres dits « ajoutés » (comme le saccharose ou le fructose ajoutés aux produits industriels et sodas) qui vont jusqu’à doubler la production de graisse corporelle dans le foie.

En comparant deux groupes d’une cinquantaine de jeunes hommes en bonne santé durant sept semaines, l’étude a observé que la consommation de fructose et de saccharose avait un effet particulièrement négatif en doublant la production de la graisse qui entoure le foie.
En bref, consommer ce type de sucres accélère fortement la stéatose hépatique non alcoolique : le foie devient « gras », première étape importante avant le développement de maladies comme le diabète de type 2.

L’étude révèle aussi que l’impact de ces sucres sur le foie se mesurait encore plus de douze heures après leur consommation, et qu’à quantité égale le saccharose était encore plus néfaste que le fructose (habituellement plus pointé du doigt).

Afin d’éviter cet effet néfaste (et les nombreux autres) de ces sucres ajoutés, favorisez les sodas sans sucres ajoutés (ni édulcorants, pas toujours meilleurs pour votre santé), contenant des sucres naturels (sucre de canne, de coco, stevia), ou réalisez-les vous-même à la maison avec des sirops naturels de fruits mélangés à de l’eau pétillante.

Lire aussi
Par quoi remplacer le sucre blanc ?
https://www.alternativesante.fr/alimentation/par-quoi-remplacer-le-sucre-blanc

Lire aussi
Le foie : notre centre anti-poison
https://www.alternativesante.fr/foie/le-foie-notre-centre-anti-poison

En aucun cas les informations et conseils proposés sur le site Alternative Santé ne sont susceptibles de se substituer à une consultation ou un diagnostic formulé par un médecin ou un professionnel de santé, seuls en mesure d’évaluer adéquatement votre état de santé

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Index glycémiques bas : un atout pour votre santé cardiovasculaire
Sabrina Debusquat  rédigé le 24 mars 2021
https://www.alternativesante.fr/alimentation/index-glycemiques-bas-un-atout-pour-votre-sante-cardiovasculaire

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MessageSujet: Re: Sucre, Index glycémique, diabète, etc   Sucre, Index glycémique, diabète, etc - Page 4 EmptyMer 15 Déc - 19:40

source ICI
Régime sans sucre : les conseils d'un nutritionniste pour réussir son sevrage
Le 15 mai 2021

Ce programme nutritionnel n’élimine pas totalement le sucre, mais propose de réduire la quantité de glucides. On fait le point avec le Dr Jacques Fricker.
Le régime sans sucre, c’est quoi ?
Pas de féculents blancs, pains raffinés, céréales sucrées, sodas…
Pas de plats industriels, souvent enrichis en sucres ajoutés parfois bien cachés.
Tous ces aliments à index glycémique élevé génèrent dès leur absorption des afflux de glucides que le corps ne peut gérer sans faire appel à l’insuline.
Cette hormone dirige le sucre vers les muscles et les cellules puis, lorsque leurs besoins sont assouvis, vers… les tissus graisseux qui le stockent.

Trois règles pour réussir le sevrage
1 sur des aliments à IG bas pour réguler la production d’insuline et stabiliser le taux de sucre sanguin.
On mange des légumes et fruits entiers frais, des céréales peu raffinées, des légumes secs (lentilles, pois chiches, haricots secs…) riches en fibres et en micronutriments – calcium, vitamine B, protéines végétales.
Ils ralentissent aussi la vitesse de la digestion, évitent les pics d’hypoglycémie et les fringales.
Oui aussi aux protéines de bonne qualité (viande peu grasse, poisson, oeuf, volaille).

2 Lire avec attention les étiquettes au supermarché pour détecter les sucres ajoutés.
On vérifie aussi la teneur totale en sucre de chaque produit (sucres naturels + sucres ajoutés) qui ne doit pas dépasser les 10-15 g aux 100 g.

3 Insister sur les aliments riches en oméga 3, indispensables à l’équilibre émotionnel (l’envie de sucre est souvent générée par le stress) : huiles de colza, de lin et de noix, fruits oléagineux (noix, amandes) et poissons gras (saumon, maquereau, hareng, sardine, thon, truite, flétan, foie de morue).

Le régime sans sucre, c’est pour qui ?
Les accros au sucre et, plus largement, celles qui souffrent de stress, de compulsions alimentaires et de fringales.

Le pour
Le métabolisme du corps se régule car le pancréas n’a plus à fabriquer des litres d’insuline.
L’appétit diminue, fringales et fatigue disparaissent.
La flore intestinale, elle, s’améliore avec la richesse en fibres.

Le contre
Attention, un régime trop pauvre en glucides, avec éviction par exemple des fruits, des laitages, des légumes secs ou des pâtes complètes peut être dangereux pour la santé cardiovasculaire, et même pour la santé globale.
Mon conseil : ne pas être obsédé, s’octroyer un carré de chocolat noir ou une tarte aux pommes de temps à autre.

Notre expert
Enseignant en faculté de médecine, le Dr Jacques Fricker a travaillé dix ans dans la recherche à l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm).
Il est aujourd’hui médecin nutritionniste-endocrinologue à Paris, à l’hôpital Bichat.
Il a écrit de nombreux ouvrages sur l’alimentation, la nutrition et la forme.
Parmi lesquels on citera Maigrir vite et bien (2012), Maigrir avec la méthode 2-4-7 (2016), Tout sur les compléments alimentaires (2017) et, son dernier titre, Prenez votre cœur à cœur.
Ils sont tous édités chez Odile Jacob.

A lire aussi :
⋙ 5 solutions naturelles pour freiner sa consommation de sucre
⋙ Sirop d'agave, sucre de coco : les nouvelles alternatives au sucre blanc permettent-elles de mincir ?
⋙ Accro au sucre : nos conseils pour se libérer de cette dépendance

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MessageSujet: Re: Sucre, Index glycémique, diabète, etc   Sucre, Index glycémique, diabète, etc - Page 4 EmptyLun 24 Oct - 16:37

source https://www.femmeactuelle.fr/sante/alimentation-equilibree/7-boissons-a-index-glycemique-eleve-a-eviter-2139828
7 boissons à index glycémique élevé à éviter

Comme les aliments solides, les boissons peuvent être riches en sucre et posséder un fort index glycémique. Le point sur celles qui font grimper notre glycémie.

Écrit par Laurène Levy
Publié le 16/08/2022 mis à jour le 13/09/2022

Connaissez-vous l’index glycémique (IG) ?
C’est le pouvoir sucrant d’un aliment ou d’une boisson.
Plus l’IG est élevé, plus l’aliment ou la boisson entraîne une hausse de la glycémie, le taux de sucre dans le sang.
Cette hausse entraîne un stockage des sucres sous forme de graisse et une sensation de faim.
L’IG aide les personnes diabétiques ou en prédiabète à bien composer leur menu.
Mais il est aussi utile pour guider toute personne qui cherche à mieux s’alimenter.

L’index glycémique s’étend sur une échelle de 0 à 100 et il est considéré comme élevé lorsqu’il est supérieur à 60. Et les boissons n’échappent pas à la règle : voici celles dont l’IG est le plus élevé.

Les boissons végétales à base de riz
Pauvres en graisses, les "laits de riz", ou boissons végétales à base de riz, sont néanmoins riches en sucres, ce qui explique qu’ils présentent un IG élevé de... 85 ! En comparaison, les autres boissons végétales présentent un IG bien plus faible : 35 pour les boissons végétales à base d’avoine, 30 pour celles à base d’amande comme pour celles à base de soja. Méfiez-vous donc !

Les sodas
Sans surprise, les sodas affichent des IG élevés, compris entre 60 et 70 selon les produits. Préférez un thé glacé maison, préparé à base de thé (infusé et refroidi), de jus de citron, de feuilles de menthe et de glaçons, que vous ne sucrerez pas pour garder un IG égal à 0 !

Les limonades
Comme les sodas, les limonades (qui sont des boissons à base d'eau gazeuse, de sucre, d'acides et d'essence de citron) et les citronnades (qui sont quant à elles des boissons à base d'eau plate ou gazeuse, de sucre et de jus ou de sirop de citron) sont très sucrées : elles ont un index glycémique proche de 60.

Le jus d’orange
Les jus d’orange sont eux aussi très sucrés, et affichent un IG de 50. Préférez un fruit entier, dont l’IG sera toujours plus faible grâce aux fibres qu’il contient. Celles-ci ralentissent en effet l’absorption du sucre du fruit par l’organisme. D’autres jus affichent des IG plus faibles : le jus de pamplemousse (IG 48), le jus d’ananas (IG 46), le jus de pomme (IG 44) ou encore le jus de tomate (IG 38).

La bière ou le vin
Les boissons alcoolisées peuvent elles aussi afficher un IG élevé. C’est le cas de la bière, qui détient le record avec un IG d’environ 100 ! Le cidre, quant à lui, affiche un IG plus faible, autour de 40, même s'il est brut !
À l’inverse, le vin blanc, rosé, rouge et le champagne ont un index glycémique proche de zéro, car le vin contient peu de sucre. En effet, pendant le processus de fermentation du vin, le sucre du raisin se transforme en alcool. Et comme le calcul de l’index glycémique ne prend que le taux de sucre en compte, le vin passe donc sous le radar de cet indice. Il reste cependant très calorique.
Attention aux vins liquoreux et moelleux qui contiennent quant à eux des sucres ajoutés et peuvent donc afficher un IG plus élevé.

Les boissons énergisantes
Les boissons énergisantes sont généralement très sucrées et affichent un IG de 70. C’est d’ailleurs pour cela qu’elles sont parfois utilisées par les sportifs, pour éviter une hypoglycémie après un effort intense.

Les sirops
Menthe, grenadine, citron, fraise… Les sirops sont composés exclusivement de sucre. C’est donc sans surprise que leur IG est élevé, autour de 70. Remplacez-les par un peu de jus de citron pressé ou quelques feuilles de menthe.

À lire aussi :
⋙ Comment calculer sa charge glycémique journalière ?
https://www.femmeactuelle.fr/sante/alimentation-equilibree/comment-calculer-sa-charge-glycemique-journaliere-2141215

⋙ Les 7 boissons à l’index glycémique le plus bas
https://www.femmeactuelle.fr/sante/alimentation-equilibree/les-7-boissons-a-lindex-glycemique-le-plus-bas-2139626

⋙ 10 fruits à index glycémique élevé à éviter
https://www.femmeactuelle.fr/sante/alimentation-equilibree/10-fruits-a-index-glycemique-eleve-a-eviter-2137539

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MessageSujet: Re: Sucre, Index glycémique, diabète, etc   Sucre, Index glycémique, diabète, etc - Page 4 EmptyDim 19 Fév - 18:22

source https://www.bfmtv.com/

et ICI

"PLUS DE SUCRE QUE DANS LE COCA": LES DENTISTES BRITANNIQUES ALERTENT SUR LE CONTENU DES COMPOTES EN GOURDE POUR BÉBÉS
Salomé Vincendon
Le 19/07/2022 à 16:53

La BDA écrit avoir trouvé dans certains sachets alimentaires proposés pour les bébés des "niveaux obscènes de sucre", représentant un danger pour la dentition des plus jeunes.
"Aussi sucré que du Coca Cola".
L'association des dentistes britanniques alerte dans un communiqué publié début juillet sur les risques de consommation des compotes à presser pour les jeunes enfants, notamment les bébés: certaines de ces gourdes en plastique comportent plus de sucre en proportion que le Coca-Cola, et leur mode d'absorption - porter la gourde à la bouche et aspirer le contenu - conduit à la création de davantage de caries, selon eux.

La BDA a analysé le contenu de 109 de ces sachets, choisissant différentes marques disponibles au Royaume-Uni, et différents contenus proposés.
Elle écrit avoir trouvé dans certains sachets alimentaires proposés pour les bébés des "niveaux obscènes de sucre", et appelle à une action gouvernementale "de grande envergure dans le secteur des aliments et des boissons pour la petite enfance."

"Ils doivent s'assurer que le sucre devienne le nouveau tabac, surtout lorsqu'il s'agit de nos plus jeunes patients", écrit la BDA, qui rappelle que "la carie dentaire est la première cause d'hospitalisation chez les jeunes enfants".
"Jusqu'à deux tiers de l'apport journalier recommandé pour un adulte en sucre"
Dans son analyse de différents produits proposés pour les enfants de moins de 12 mois, la BDA note que plus "d'un quart contenait plus de sucre en volume qu'un Coca Cola".
Des produits destinés à des bébés de quatre mois contiennent "l'équivalent de jusqu'à 150% des niveaux de sucre de la boisson gazeuse", et il s'agissait à chaque fois de mélanges à base de fruits, note-t-elle.
Certains de ces mélanges "comportent jusqu'à deux tiers de l'apport journalier recommandé [au Royaume-Uni] pour un adulte en sucre", est-il encore expliqué. Les produits contenant des légumes présentent, en général, des taux de sucre moins élevés.

Pour rappel, outre les caries, "l'excès de sucre peut entraîner surpoids, obésité et maladies qui y sont associées, comme le diabète de type 2, des maladies cardiovasculaires et certains cancers", explique l'Anses (Agence Nationale Sécurité Sanitaire Alimentaire Nationale).
En France, le mois dernier, des professionnels de santé avaient alerté sur le phénomène des "bébés coca", ces très jeunes enfants buvant dès leurs premiers mois des sodas, ce qui entraine des caries sur des dents de lait, voire des infections dès le plus jeune âge.
Marco Mazevet, des Chirurgiens-dentistes de France, rappelait sur notre antenne que la dose quotidienne de sucre recommandée est de 25g pour un adulte, la moitié pour un enfant.
Certains des produits étudiés par la BDA contiennent 17,3 grammes de sucre pour 100 grammes de produit.

L'organisme britannique pointe aussi du doigt le fait que ces produits donnent l'impression d'être des produits "sains" aux parents, avec des appellations comme "sans sucre ajouté" ou "seulement des sucres naturels".
Or, même s'il s'agit de sucres naturels issus de fruits, il peut y en avoir trop.
"Les dentistes ont souligné qu'en ce qui concerne les dents, il y a peu ou pas de différence si le sucre est ajouté ou naturel", écrit la BDA.

"On a peut-être l'impression qu'un verre de jus d'orange le matin pour un bébé ou un enfant en bas âge c'est bon pour la santé.
Mais non, c'est trop. On n'est pas fait pour avaler l'équivalent de six oranges en vingt secondes", expliquait Marco Mazevet.
Avec ces sachets, "la nourriture passe plus de temps en contact avec les dents"
D'autre part, la BDA alerte sur les risques liés au mode d'ingestion de ces produits, qui se portent à la bouche et s'aspirent.
"Le contenu est souvent aspiré directement de la poche, ce qui garantit que la nourriture passe plus de temps en contact avec les dents de lait, juste au moment où elles poussent, et expose les dents à un risque d'érosion et de carie", est-il expliqué.

Le site français de l'Assurance Maladie écrit que "lorsque nous mangeons, les acides fabriqués par les bactéries à partir du sucre augmentent dans notre bouche et attaquent les dents, favorisant les caries.
Plusieurs heures sont nécessaires pour que cette acidité disparaisse".
Et en "consommant de petites quantités de sucres plusieurs fois dans la journée, l’acidité ne disparaît jamais dans la bouche et attaque les dents en permanence."
Les autorités sanitaires anglaises recommandent qu'à partir de l'âge de six mois, les nourrissons soient initiés à la consommation de leur nourriture via une tasse ou un gobelet, et découragés de boire à la bouteille dès 12 mois.

La société Ella's Kitchen, dont les produits font partie des plus sucrés selon le classement de la BDA, explique dans un communiqué "prendre la nutrition infantile très au sérieux" et avoir "réduit la proportion de fruits à forte teneur en sucre" de ses produits.
L'entreprise ajoute qu'elle ne conseille pas que ses purées soient consommées directement à partir du sachet.

Annabel Karmel - entreprise aussi mise en cause - écrit de son côté que ses aliments sont "spécialement conçus pour les bébés" et que "la teneur limitée en sucre provient des sucres naturels présents dans les fruits utilisés".

Salomé Vincendon
Journaliste BFMTV

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MessageSujet: Re: Sucre, Index glycémique, diabète, etc   Sucre, Index glycémique, diabète, etc - Page 4 EmptyVen 9 Juin - 20:33

source https://destinationsante.com/diabetique-a-noel-que-puis-je-manger.html
Diabétique à Noël : que puis-je manger ?
13 DÉCEMBRE 2022

Les repas de Noël, qu’il s’agisse du réveillon du 24 décembre ou du déjeuner du 25, sont souvent gargantuesques.
Pour les personnes diabétiques, ils riment avec casse-tête.
Pourtant, avec quelques astuces et un peu d’anticipation, il est tout à fait envisageable de profiter pleinement des bons plats de fins d’année.

Pour contrôler son diabète, il est important de maintenir une alimentation équilibrée, ni trop grasse, ni trop sucrée.
Pas toujours évident durant les fêtes de fin d’année.
Alors comment faire pour se faire plaisir tout en maintenant sous contrôle sa glycémie ?

Globalement, donc, retenez ces trois préceptes : pas trop de gras, pas trop de sel et encore moins de sucre.
Et en pratique, il existe nombre d’alternatives au traditionnel chapon farci et autres bûches à la crème.

Si c’est vous qui invitez, « prévoyez un plat principal assez copieux, par exemple, vous compenserez par un dessert léger avec des fruits et sans crème (et inversement si c’est le dessert qui est calorique) », recommande la Fédération française des diabétiques.
De façon générale, préférez le « fait maison », en insistant sur l’usage de légumes et de fruits à toutes les étapes du repas.
Et traquez les éléments trop riches et pas forcément indispensables comme les feuilletés, les sauces, la crème et la mayonnaise.

Apéritif, entrée, plat, dessert
Dans l’ordre, à l’apéritif, « évitez les cacahuètes, chips et autres biscuits secs.
Ces produits industriels pour l’apéritif sont souvent trop salés, trop gras et n’apportent rien en termes nutritionnels. »

Ensuite, pour l’entrée, pensez aux « verrines, salade mesclun, salade d’épinards au chou rouge et bien sûr les fruits de mer et les crustacés, peu caloriques ».
Pour le plat, vous pouvez donc vous lâcher un peu plus, sans en faire trop.
Pourquoi ne pas rester sur un plat de dinde traditionnelle, mais sans les marrons ni le foie gras.
Accompagnez plutôt la volaille de légumes rôtis, par exemple.

Enfin, pour le dessert, vous pouvez piocher dans une série d’options légères et savoureuses : sorbets, yaourts fouettés aux fruits, gâteau léger accompagné de fruits en coulis…
Mais si vous adorez la bûche, adaptez-la version fruits rouges ou exotiques.

Et enfin, que boire ? « Si vous consommez de l’alcool, faites-le avec modération, et jamais le ventre vide ! », insiste la FFD.

A noter : « Pour encore plus de sécurité et pour passer les fêtes en toute tranquillité, il peut être judicieux d’adapter votre traitement », conclut la Fédération française des diabétiques. « Car même si vous faites attention à ce que vous mangez, les repas de fête ne sont pas comme les autres.
Ils sont généralement plus copieux, durent plus longtemps et vous vous couchez souvent plus tard. »
Demandez conseil à votre médecin.

Source : Fédération française des diabétiques

Ecrit par : Dominique Salomon - Edité par : Emmanuel Ducreuzet

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MessageSujet: Re: Sucre, Index glycémique, diabète, etc   Sucre, Index glycémique, diabète, etc - Page 4 EmptyMer 16 Aoû - 14:18

source https://www.aufeminin.com/manger-equilibre/petit-dejeuner-voici-le-pain-a-l-index-glycemique-le-plus-eleve-a-eviter-selon-les-nutritionnistes-s4069051.html

Petit déjeuner : voici le pain à l'index glycémique le plus élevé, à éviter selon les nutritionnistes
par Elisabeth Sall
Créé le 14/08/2023 à 16:05, modifié le 14/08/2023

Selon le type de farine contenu dans le pain, mais aussi selon la recette de fabrication, l'index glycémique varie et augmente.
Pour consommer du pain, sans trop se soucier de son impact sur la prise de poids, on vous livre aujourd'hui le nom du pain qui contient l'index glycémique le plus élevé... et qu'il faut donc éviter !

Que l’on soit en plein rééquilibrage alimentaire ou non, les nutritionnistes conseillent très souvent d’éviter de consommer du pain de façon quotidienne.
Composé de farine, de blé, de sucre et donc de gluten, le pain peut en effet favoriser la prise de poids et "gonfler" le ventre, ce qui fait de lui un aliment à ne pas incorporer de façon régulière dans la routine alimentaire.

Mais tous les pains ne sont pas forcément "mauvais" pour la santé !
L’index ou indice glycémique (IG) du pain varie en effet en fonction de sa composition.
Il convient alors de voir si le pain est blanc, complet, de seigle ou encore de son d’avoine.
Pour rappel, l’index glycémique est un critère qui permet de classer les aliments contenant des glucides selon leurs effets sur la glycémie, c’est-à-dire le taux de sucre dans le sang, dans les deux heures qui suivent leur ingestion.

Baisse de la glycémie : quel pain possède l’index glycémique le plus élevé ?
Pour savoir quels sont les pains à éviter, notez que plus l’index glycémique d’un aliment est élevé, plus la glycémie augmente lorsqu’on l’ingère. Après cette hausse de glycémie dans le sang, un pic d’insuline est alors observé.
En tentant de faire retomber la glycémie, cette hormone va alors favoriser le stockage des glucides sous forme de graisses.

Pour ne pas prendre de poids, il faut donc veiller à garder son index glycémique bas et donc privilégier les aliments qui ne le font pas augmenter ! Sachez désormais que l’index glycémique d’un aliment est considéré comme élevé s’il est supérieur ou égal à 60.
Pour les pains, il faut analyser le type de farine, (celle au blé complet est plus saine), la présence de graines fait aussi chuter l’index glycémique tout comme le levain qui est mieux que la levure.

Parmi les pains aux indices glycémiques les plus faibles, on retrouve alors
le pain au levain (IG 35),

le pain aux céréales (IG35),

le pain de seigle (IG40),

le pain d’épeautre (IG45),

le pain au sarrasin (IG50).

Parmi les pains aux indices glycémiques les plus élevés et donc à éviter
le pain complet (IG50 à 70),

la baguette classique (IG70),

le pain de campagne (IG70)

et le pain de mie (IG85).


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MessageSujet: Re: Sucre, Index glycémique, diabète, etc   Sucre, Index glycémique, diabète, etc - Page 4 EmptyLun 11 Sep - 20:10

source https://www.bebeours.com/tableau-de-lindice-glycemique-des-fruits-et-legumes/
Tableau de l’indice glycémique des fruits et légumes
Patricia Marquez
2 novembre 2022

On en a pas mal parlé ici : l’indice glycémique des aliments est quelque chose de passionnant et d’important.

L’index glycémique ou l’IG est un outil nutritionnel qui permet d’évaluer la qualité des glucides que vous consommez. Cet indice mesure la rapidité avec laquelle les glucides contenus dans un aliment donné affectent votre glycémie.

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